Super doigt !

Petit chat noir en vacances : Après avoir ouvert une boîte de conserve à l’aide d’un tournevis et d’un marteau, il fallait bien que la poisse continue.
 
Imaginez, vous êtes dans la galerie marchande d’ un magasin. En rentrant dans le magasin, vous voyez un abri de jardin. Pas moyen d’ouvrir la porte pour voir l’intérieur. Ils ont bloqué la porte. Vous vous dites « Normal c’est pour la sécurité ».
 
En sortant des courses, vous repassez devant, et vous constatez qu’il est très mal monté : ferrures de travers, lattes mal mises (aucun problème d’aération en vue !) un coup, c’est monté avec des vis, un autre avec des clous etc…
Vous décidez de poser un doigt, juste le bout de votre index sur le clou car visuellement on ne sait pas trop ce que c’est. Et là c’est le drame….Non seulement vous assommez votre mère avec une planche qui s’est suicidée mais en plus vous avez démonté tout le bardage de ladite cabane à l’aide de la seule force du bout de votre index !
 
Dans la précipitation, un valeureux monsieur se précipite pour rattraper la planche mais trop tard la cabane est déjà en partie démontée !
 
 
 
On est repartis tous les trois du magasin avec un bon fou rire et l’assurance de ne jamais acheter cet abri de 499€ qui risque de s’effondrer quand vous rentrez votre tondeuse !
 
Conclusion : Ou mon index a une force surhumaine ou la cabane n’était pas solide !
 
PS : Aucune maman n’a été torturée dans cette mésaventure. Elle n’a pas été blessée, même pas une petite bosse.
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A la guerre comme à la guerre !

Ma maman s’étant blessée à l’épaule, je suis donc venue pendant mes vacances en renfort pour l’aider car avec un seul bras difficile de cuisiner, faire le ménage etc…

Tout allait bien jusqu’au moment où je décide, à 21h le soir de cuisiner une boite de conserve. La viande cuit tranquillement au four, j’attrape la boite de conserve et là c’est le drame ! Il n’y a pas d’ouvre-boîte.

 

A la recherche d’une solution

J’ai bien mon limonadier dans ma trousse de toilette, mais ce dernier ne convient pas. J’ai alors une illumination.

Je demande à ma mère si elle n’aurait pas par hasard un marteau et un tournevis plat. Elle me regarde avec des grands yeux ronds, tout en devinant ce que j’ai en tête.

La solution !!

Oui oui, j’ai bien ouvert ma boite de conserve à l’aide d’un marteau, d’un tournevis pouce plat et d’une pince coupante.

Bien évidemment n’étant pas perdue dans la pampa en mode survie, j’ai bien nettoyer le tournevis et la pince avant.

Ensuite, il suffit de positionner le tournevis sur la boite comme on mettrait l’ouvre boite et à l’aide du marteau de percer par petits coups le couvercle.

Arrivée à la moitié, j’ai replié le couvercle à l’aide de la pince et le tour était joué !

 

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Les crayons écologiques pour tableau blanc

Toute personne ayant un jour eu à écrire sur un tableau a eu un jour affaire à ce problème : La mort du marqueur.

Non seulement, il sèche vite mais il se recycle peu puisque généralement il finit à la poubelle.

J’ai donc découvert les Stabilo Woody. Ce crayon 3 en 1 fait crayon aquarellable, crayon pour tableau blanc, craie grasse etc…Il est magique ! 

Voici en vidéo une petite présentation de cette alternative.

Avantages

  • Il ne sèche pas
  • Il dure aussi longtemps qu’il est encore assez grand pour écrire
  • Le choix des couleurs : 18 en tout !
  • Le côté multi-support, multi-usage. Qu’on soit artiste ou non, chacun peut l’utiliser comme bon lui semble.
  • Il a une bonne prise en main. On le tient comme un crayon classique. Il convient aussi bien pour les gauchers, que les droitiers.
  • Il s’efface tout simplement à l’eau. Une lingette humide et hop ! c’est parti !
  • Il est conçu avec du bois de haute qualité (cèdre) labélisé PEFC – bois issu de forêts gérées durablement et fabriqué en Europe. Son bilan carbone est plutôt bon.

Inconvénients

  • Son prix à l’achat : il est à 1.99€ pièce contre en moyenne 0.60€ un marqueur pour tableau blanc classique. La boîte de 10 crayons avec le taille-crayon est à 10€
  • Le taille crayon si on le prend seul coûte 4.50€. Il est spécifique à ces crayons. J’ai regardé si un taille-crayon pour maquillage ferait l’affaire. Hélas non. Ceux de bricolage ne font pas non plus l’affaire.
  • Il craint la chaleur. Au dessus de 35°c, il a tendance à fondre.
  • Comme il est plutôt gras, il faut penser à avoir sa lingette et son pulvérisateur d’eau sous la main. C’est une habitude à prendre
  • Se le procurer n’est pas très facile. On ne le trouve pas en grandes surfaces, mais en papeterie ou en magasins spécialisés dans les loisirs créatifs. 

En conclusion

Cette alternative aux marqueurs pour tableau blanc plein de produits chimiques et bien peu recyclés est séduisante malgré son prix. En effet, sur du long terme, le prix de ce crayon est amorti car il a une durée de vie bien plus longue que le marqueur. Et tout au long de sa vie, il pollue beaucoup moins. 

Son côté multi-support et multi-usage permet de remplacer également les marqueurs classiques pour les exposés des élèves. 

Il demande un peu d’organisation au quotidien avec l’obligation d’avoir un chiffon humide pour effacer et sa crainte de la chaleur.

Peut être que si il se généralise, il deviendra économiquement plus intéressant aussi.

Voilà donc le premier test, bidouillage de l’année ! 

Bonne année 2020 à tous !

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La passe miroir

Première lecture de 2020 ou dernière de 2019, les quatre tomes de la série La passe miroir. Je vais essayer de ne pas divulgâcher.

Le Tome 1 : Les fiancés de l’Hiver

Le monde est divisé en arches suite à la Déchirure. A la tête de chaque arche, il y a un esprit de famille immortel, sorte de parent spirituel des habitants doté d’une mémoire de poisson rouge.

Sur une des ces arches, Anima, vit Ophélie. C’est une petite femme douce, réservé maladroite qui se planque derrière ses lunettes dont les verres changent de couleur selon son humeur. Elle porte constamment une écharpe animée et des gants, ses gants de liseuse. En effet, elle peut lire les objets rien qu’en les touchant. Lire un objet c’est pouvoir ressentir les sentiments des personnes qui les ont utiliser et pour cela il y a des règles :

  • Ne jamais lire un objet sans demander l’autorisation de son propriétaire
  • Ne pas oublier que ce qu’on voit ou que l’on ressent ne sont pas nos propres sentiments.

Elle peut également voyager de miroir en miroir.

Elle vit heureuse, en famille. Mais voilà, elle a déjà refuser de se marier avec 2 cousins et cela la met à l’écart de la société. Il est très mal vu d’être célibataire à son âge sur Anima. Elle préfère s’occuper des objets du musée que de côtoyer les gens et lire les archives.

Un beau jour, on lui annonce que les Doyennes,au nom d’Artémis, esprit de famille d’Anima, lui on trouvé un mari venant d’une autre arche, le Pôle. Elle ne peut pas refuser ce mariage diplomatique et doit suivre son futur époux, Thorn, intendant de l’arche, accompagnée de sa tante Roseline comme chaperon. On suit ainsi la rencontre avec ce fiancé pas très joyeux et amical, la vie sur l’arche du Pôle et de Farouk, son esprit de famille, un brin soupe au lait et oublieux….

Mon avis 

J’ai eu du mal à accrocher. J’ai lu les 250 premières pages laborieusement. C’est long à s’installer et on a l’impression d’un mélange de plein de choses déjà vus dans d’autres univers littéraires ou télévisuels. L’intérêt n’est venu que lorsque l’action est venue. Ce n’est pas mal écrit du tout, c’est juste moi, qui n’aime les descriptions longues.

Tome 2: Les disparus du Clairdelune

Ophélie a fini par s’habituer à la vie de cour du Pôle et se retrouve nommée vice-conteuse pour l’esprit de famille Farouk. 

Farouk aimerait bien comprendre pourquoi il n’arrive pas à se rappeler de quoi que ce soit. Pour lui, la réponse est dans le livre que possède tous les esprits de famille. Thorn veut utilisé les dons de liseuse d’Ophélie pour satisfaire l’esprit de famille, être annobli et ainsi laver l’honneur de sa famille. Sauf que les disparitions au sein de l’ambassade du Pôle ne cesse d’augmenter, juqu’à Archibald l’ambassadeur. Vont ils réussir à le retrouver ? Ophélie trouvera -t-elle enfin sa vraie place ?

Mon avis 

Toujours le même souci, c’est très long à démarrer. 200 pages avant que cela bouge. Si il n’y avait pas eu l’intrigue sur Eulalie Dillieux, j’aurai abandonner la lecture. Je n’arrive pas à m’attacher aux personnages tellement ils sont caricaturaux.

Tome 3 : La mémoire de Babel

Trois ans plus tard, Ophélie, de retour sur Anima, dépérit d’être sans nouvelles de Thorn. Roseline, sa tante, rêve elle aussi de retrouver Bérénilde et sa fille Victoire.

Elles profitent d’un voyage d’Archibald pour retourner sur le Pôle. Arrivée là-bas, Ophélie découvre que Thorn serait parti sur l’Arche de Babel, dirigée par les esprits de famille, Pollux et Hélène. Elle fait la rencontre d’Amboise, le fils de Lazarus, le marchand d’automate, qui l’héberge dans un premier temps. 

Pour retrouver Thorn, elle décide de devenir avant-coureur et rentre pour cela à la Bonne famille, sorte d’académie. Son pouvoir familial de liseuse lui sera d’une grande aide. Son apprentissage n’est pas facile et ses camarades ne lui simplifient pas là tâche car deux d’entre eux seulement seront promus avant-coureur. Les arches perdent des morceaux, les effondrements se multiplient et les esprits de famille sont toujours incapables de se rappeler quoi que ce soit.

Thorn a rejoint cette arche et a pour couverture, Sir Henry, dit l’automate tellement il est chaleureux ! Il a été embauché par les généalogistes pour retrouver des informations dans la bibliothèque de Babel qui est la mémoire du monde.

Les retrouvailles entre Ophélie et Thorn ne sont pas très chaleureuses. La situation est délicate car ils doivent œuvrer discrètement.

Mon avis 

Ce tome-ci est plus dynamique, même si encore une fois le début est laborieux, qu’on a un mélange amour/haine à la Twilight, une école à la Poudlard, un univers Steampunk à la Pullman, des histoires de langues à la Tolkien, avec un soupçon de bible par dessus le marché ! 

Tome 4 : La tempête des échos

Les effondrements se multiplient, de plus en plus impressionnants : Babel, le Pôle, Anima… aucune arche n’est épargnée. Pour éviter l’anéantissement total, il faut trouver le responsable. Trouver l’Autre. Mais comment faire sans même savoir à quoi il ressemble ? … 

Ophélie découvre que son accident de miroir, enfant a eu des conséquences plus importants qu’il n’y parait. Les esprits de famille des différentes arches sont perdus et la vie de chacun dépend des choix d’Ophélie. Elle a déjà perdu Thorn, elle ne veut pas perdre les siens. Elle doit retrouver l’Autre, l’affronter quitte à y perdre un peu de son intégrité dans un monde qui s’effondre.

Mon avis 

Ce tome est le plus abouti et le meilleur de la série. La bonne idée de ce livre est d’avoir consacré les premières pages du livre à la présentation de la situation des personnages. On évite ainsi les longues 200 premières pages d’exposition. Cela permet de rentrer plus rapidement dans l’histoire.

Le style est toujours agréable, mais l’intrigue brouillonne. On retrouve toujours ce mélange d’influence. J’ai, hélas, deviner le fin mot  de l’intrigue bien trop tôt dans le livre. Les état d’âme d’Ophélie sont toujours aussi interminables.

Conclusion

Cela reste une quadralogie sympathique même si je n’ai pas accroché. On ne peut pas dire que l’histoire soit novatrice mais elle est bien racontée. Le style est de mieux en mieux au fil des tomes. On sent que l’auteur prend confiance et qu’elle aime ses personnages, surtout Ophélie.

A mon avis c’est accessible dès la 5e. Avant, cela me semble un peu complexe. C’est une série à avoir dans son CDI.

 

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Les Indes Fourbes, Les culottés (et autres BD)

Dernier article de l’année sur une partie de mes lectures de cette fin 2019. J’ai du faire un choix et j’ai décidé de vous les présenter par genre.

Aujourd’hui, ce sera bandes dessinées.

Les Indes fourbes 

Cette bande dessinée scénarisée par Alain Ayroles et dessinée par Juanjo Guarnido raconte les aventures de Don Pablos de Ségovie au XVIᵉ siècle en Amérique du Sud et en Espagne. C’est un scénario un peu à la Usual suspect.

On découvre notre héros malade, mourant racontant son histoire, enfin une version de son histoire. On voyage de l’Espagne aux Amériques, on y découvre la vie à l’époque, la désillusion des chercheurs d’or, l’exploitation des nègres et des autochtones…Ces derniers sont abrutis par la drogue pour oublier leurs conditions de vie déplorables.

Le scénario est prenant, les couleurs et les dessins lui donnent vie avec force. Les expressions du visage des différents personnages, les lumières, les couleurs sont superbes. Le dépaysement est garanti et on s’authentifie totalement à notre héros.

Les Indes fourbes, Delcourt, 2019

Culottées

Culottées est une série de bande dessinée de Pénélope Bagieu en deux tomes, publiés en 2016 et 2017. L’intégrale est sortie en 2019. A l’origine, bandes dessinées sont parues sur le site du journal Le Monde.

Culottées, Gallimard, 2019

Guerrière apache ou sirène hollywoodienne, gardienne de phare ou créatrice de trolls, gynécologue ou impératrice, rappeuse afghane, journaliste d’investigation,  reine des bandits, rock star ou femme à barbe, athlète ou chamane, exploratrice ou travailleuse sociale,chacune de ces femmes a vécu sa vie librement ouvrant ainsi la voie aux autres femmes. Un livre qui montre la féminité autrement qu’une faible et montre que tout est possible. Le choix des couleurs donne du dynamisme à ces différentes tranches de vie, jamais larmoyantes et toujours pleine de courage. On sent ici, un féminisme tendre et une vraie fierté de raconter les « histoires » de ces femmes. On y retrouve l’esprit de « Combien de pas jusqu’à la lune », avec l’idée qu’une femme ne vaut pas moins qu’un homme, loin de là…

Les royaumes de feu en BD

Le monde des dragons de Pyrrhia subit une guerre des clans depuis des décennies. Une prophétie a annoncé que cinq jeunes dragons nés durant la nuit la plus claire ont le pouvoir de mettre fin au conflit et de faire régner la paix. 

Pour l’instant, il n’y a que 2 tomes. Chaque tome développe l’histoire personnelle d’un des dragons. Il y a un esprit de bande de potes entre ces dragons. c’est un peu les Légendaires version bêtes cracheuses de feu.

Le tome 1 : La prophétie

Il met en place l’histoire et les personnages. Cinq dragonnets ont été enlevé et élevés pour devenir « Les dragonnets du destin » suite à une prophétie. Sauf que devenir un futur dragon héroïque n’est pas de tous repos. Leur école c’est un peu Poudlard avec des écailles, leurs professeurs de véritables peau de vache !

Tome 2 : La princesse disparue

Tsunami découvre qu’elle est une vraie princesse d’un royaume aquatique, les Ailes de Mer. Mais son bonheur est de courte durée : entre intrigues de palais, ennemis redoutables et secrets de famille, elle ne pourra compter que sur l’aide de ses amis les dragonnets du Destin pour éviter les pièges mortels.

Les couleurs sont vives les personnages attachants. L’histoire est issue d‘une série  éponyme de 11 romans écrit par Tui T. Sutherland.

 

Le loup en slip n’en fiche pas une

On retrouve les aventures de la marionnette du petit théâtre des Vieux Fourneaux , Le loup en slip

Le loup, vit tranquille dans la forêt, il s’achète plein de bons bo buns mais…Mais attendez ??!! Il ne travaille pas le loup ??? Comment cela se fait -il qu’il ait des sous ???  Seule solution : Le loup en plus d’être une feignasse est un voleur ! Ni une ni deux, la brigade anti-loup l’arrête et s’en va mener l’enquête, car bon, elle travaille, elle ! 

J’adore l’humour irrévérencieux de cette série, les doubles sens de lecture, les petits détails cachés dans l’image. On sent un petit soupçon d’anarchisme derrière cette histoire. On retrouve l’esprit étriqué des habitants de certains petits villages avec leurs commérages, leur peur de l’étranger et ce besoin de normaliser les rapports sociaux. J’ai beaucoup de tendresse pour ce loup, anticonformiste et attachant. Il est réaliste, optimiste et terre à terre avec un petit côté Baloo, « Il en faut peu pour être heureux » !

J’ai lu bien d’autres BD et mangas dont le tome 4 de Lady Oscar, l’Arabe du Futur, mais j’ai préféré ici n’évoqué que les titres parus en 2019.

A venir les documentaires et les romans.

Bonne fin d’année 2019 !

 

 

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Plateau décoratif

Cette année, pour Noël, j’ai réalisé cette composition pour une personne aimant beaucoup les éléphants.

A la base, je devais avoir 3 éléphants sur le modèle de celui qui ne voit pas n’entend pas et se tait. Mais comme en magasin, il ne restait que ce modèle, je me voyais mal l’offrir tout seul.

Ce n’est qu’une bidouille, de l’assemblage.

Matériel

  • 1 plateau en bois
  • 2 bougies parfumées
  • 1 figurine
  • du gravier coloré
  • de la peinture noire brillante en bombe

Réalisation

1/ Peindre le plateau à l’aide de la peinture en bombe. Laisser sécher

2/ Verser le gravier dans le plateau

3/ Placer comme vous le souhaitez les bougies et la figurine.

Comme je ne voulais pas que ce soit trop connoté fête et que cela puisse servir comme décoration usuelle, je n’ai pas ajouté de guirlande de perle argentée comme je l’avais pensé dans un premier temps.

Attention, ce n’est pas évident à emballer à cause du gravier.

Voilà, c’est un cadeau facile à réaliser mais qui reste « unique ».

A vous de jouer !

Bonnes fêtes à tous !

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Bidouilles de Noël 2019

Comme tous les ans, j’ai bidouillé ma déco de Noël. Cette année, j’avoue m’être un peu lâché aussi bien à domicile qu’au travail.

Au CDI 

Après avoir vu pas mal de réalisations de sapins faits avec des livres en bibliothèque, j’ai tenté d’en faire un au CDI avec de vieux livres. Les élèves ont été ravis de participer à leur réalisation.

  • Le sapin de Noël

Après avoir fait le sapin, un bonhomme de neige en encyclopédie double face s’imposait.

Ainsi qu’un père Noël à l’aide de petits Roberts.

A la maison

Cette année, j’ai fait une légère décoration intérieur et une plus complexe dehors.

  • A l’intérieur

Le sapin et mes dernières réalisations suffisent.

A l’extérieur, je n’ai pas voulu faire une mise en scène compliqué de type village.

Beaucoup d’éléments du décor proviennent  de matériaux de récupération trouvés…dans le jardin. Pour faire les arbustes, j’ai utilisé des fleurs de lierre plus ou moins fleuries que j’ai posé ou piqué dans la fausse neige. Les arbres sont en réalité des repousses de laurier-sauce.

Le gravier et les fleurs de lierre transforment la glace en mini patinoire.

Pour faire le chemin doré, j’ai utilisé des piques à brochettes que j’ai collé et peint en doré. Les barrières des moutons et le toit de la cabane sont en bâtonnets de glace.

Mes réalisations

1/ La cabane

J’ai eu un peu plus de mal à la réaliser. Elle est faite en pâte à modeler séchant à l’air libre.

Tout d’abord, j’ai voulu assembler de petites boules façons pierre pour faire comme une cabane de berger. Sauf que le poids de la pâte a fait s’écrouler l’édifice au niveau de la fenêtre. Si bien que j’ai fini l’assemblage au pistolet à colle. Mais chut !

Le toit est fait de bâtonnets à glace. 

2/ Les petits pots

Pour cela, j’ai réutilisé des pots vides que j’ai rempli de fausse neige. J’y ai ajouté des personnages que j’ai réalisé en pâte fimo : un père Noël, un renne, un bonhomme de neige et un sapin.

Voilà c’étaient mes bidouilles de Noël 2019. Il me reste à vous souhaiter de bonnes fêtes et bidouillez bien !

 

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