Le PPCR (parcours professionnels, carrières et rémunérations) rentre en vigueur cette année. Dès cet été, certains professeurs ont reçu un mail les avertissant que cette année, ils allaient avoir un rendez-vous de carrière.
C’est une grande nouveauté qui s’applique à toute la fonction publique.
Le PPCR, qu’est ce que c’est ?
Pour les enseignants, il remplace l’ancienne évaluation professionnelle jusqu’alors faite d’une note administrative et une note pédagogique. Le décret d’application est paru dans le JORF n°0108 du 7 mai 2017du 7 mai 2017. Il s’agit du décret n° 2017-786 du 5 mai 2017 modifiant divers décrets portant sur le statut particulier des personnels enseignants et d’éducation du ministère chargé de l’éducation nationale.
Afin de répondre aux multiples questions se posant sur le PPCR et les changements qu’il apporte, le MEN a publié un guide disponible ci-dessous.
Tous les professeurs ayant plus de 2 ans d’ancienneté aux 6e, 8e et 9e échelon. Il permet d’accéder à la hors classe et à la classe exceptionnelle. Il a pour but de favoriser une avancée de carrière équitable pour tous « en facilitant » l’accès à la hors classe.
Ce que dit le texte pour un certifié de classe normal :
« Art. 30-3.-Le professeur certifié bénéficie de trois rendez-vous de carrière dont l’objectif est d’apprécier la valeur professionnelle de l’intéressé. Ils ont lieu lorsque au 31 août de l’année scolaire en cours :
« 1° Pour le premier rendez-vous, le professeur certifié est dans la deuxième année du 6e échelon de la classe normale ;
« 2° Pour le deuxième rendez-vous, le professeur certifié justifie d’une ancienneté comprise entre 18 et 30 mois dans le 8e échelon de la classe normale ;
« 3° Pour le troisième rendez-vous, le professeur certifié est dans la deuxième année du 9e échelon de la classe normale. »
Selon la discipline ou la fonction, le déroulement diffère un peu.
1/ Une inspection, l’inspecteur
2/ Un entretien avec l’inspecteur qui a conduit l’inspection
3/ Un entretien avec le chef d’établissement (qui peut s’appuyer sur le document suivant pour l’entretien) 3 semaines plus tard.
Je continue mes révisions…Et je me rends compte que finalement le PPMS et tout ce qui est lié au risque peut tomber comme sujet. Voici donc le fruit de mes recherche : le ministère a publié sur Eduscol des consignes de sécurité applicables dans les établissements relevant du ministère de l’Éducation nationale.
Quatre guides ont été édités dont deux nous intéressent plus particulièrement :
un guide à destination des parents des collégiens et lycéens
Les écoles et les établissements scolaires ont obligation de signaler en amont des voyages à l’autorité académique. En lien avec les préfets, l’autorité académique pourra interdire un voyage si les conditions de sécurité ne sont pas remplies.
L’autorisation de sortie de territoire supprimée en 2013 est rétablie depuis le 15 janvier 2017. Elle concerne tout mineur qui voyage à l’étranger sans être accompagné de ses parents.
Les sorties scolaires occasionnelles (théâtre, sortie nature…) sont également autorisées. Elles ne nécessitent pas d’autorisations préalables auprès des autorités académiques.
Toute manifestation autorisée par la préfecture (salons, compétitions sportives…) est de fait accessible aux scolaires.
Dans les établissements scolaires
Tous les EPLE doivent avoir mis en place un plan PPMS (Plan Particulier de mise en sécurité). Depuis avril 2017 est imposée la distinction de deux PPMS, l’un consacré aux risques majeurs naturels ou industriels, l’autre aux menaces d’attentat-intrusion.
La sécurité est très importante, d’autant plus le nombre de personnes à gérer est grand. Il faut différencier ce qui est du quotidien du plus exceptionnel.
Avec les vagues d’attentats et Vigipirate, la fouille visuelle des sacs est devenue quasi systématique. Mais une bonne connaissance de son établissement est indispensable. Voici les étapes incontournables pour la mise en place d’un PPMS :
1/ Faire un état des lieux, un diagnostic de l’existant.
2/ Mettre en place un protocole à l’aide du CHST de l’établissement et prendre contact avec les services de l’état nécessaire notamment pour tout ce qui touche les infrastructures.
3/ Mettre en place le PPMS et le faire valider par l’autorité compétente.
4/Informer et former la communauté éducative
Notamment pas de l’affichage, des exercices de simulation, de la formation aux premiers secours etc…
Comme chacun sait l’école est obligatoire de 6 ans à 16 ans. Cela ne signifie pas que les + de 16 ans ne sont soumis à aucune obligation. Voici quelques explications :
Histoire de l’obligation de scolarité
1936 : la loi Jean Zay repousse l’obligation à 14 ans
1945 : le plan Langevin-Wallon envisage de la porter à 18 ans
1959 : la réforme Berthoin l’établit à 16 ans
On retrouve l’idée d’une scolarisation obligatoire dans tous les grands textes internationaux : la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948), la Déclaration des droits de l’enfant (1959); la Convention de l’ONU sur les droits de l’enfant (1989), la Charte des droits fondamentaux de l’union européenne (2000).
L’obligation de scolarité
Il faut différencier deux choses : l’obligation de scolarité (qui est donc bien obligatoire de 6 ans à 16 ans ) et l’obligation d’assiduité.
L’État doit garantir l’exercice de deux droits importants : celui des enfants de recevoir une instruction de qualité : le droit à l’éducation, et celui des parents de choisir le mode d’instruction de leur enfant : la liberté de l’enseignement. La scolarité au sein d’un établissement scolaire n’est donc pas une obligation. Seule l’instruction l’est. Pour cela, 3 possibilités sont offertes aux familles :
Passé 16 ans, l’élève reste soumis à l’obligation d’assiduité. A partir du moment où il s’est inscrit dans une formation, il doit la terminer et être assidu.
L’obligation dans la loi
Article L: L’instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et étrangers, entre six et seize ans. La présente disposition ne fait pas obstacle à l’application des prescriptions particulières imposant une scolarité plus longue.
Article L : Le droit de l’enfant à l’instruction a pour objet de lui garantir, d’une part, l’acquisition des instruments fondamentaux du savoir, des connaissances de base, des éléments de la culture générale et, selon les choix, de la formation professionnelle et technique et, d’autre part, l’éducation lui permettant de développer sa personnalité, d’élever son niveau de formation initiale et continue, de s’insérer dans la vie sociale et professionnelle et d’exercer sa citoyenneté. Cette instruction obligatoire est assurée prioritairement dans les établissements d’enseignement.
Article L131-2 : L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix. Un service public de l’enseignement à distance (CNED) est organisé notamment pour assurer l’instruction des enfants qui ne peuvent être scolarisés dans une école ou dans un établissement scolaire.
Article L131-3 : Le versement des prestations familiales afférentes à un enfant soumis à l’obligation scolaire est subordonné aux conditions fixées par les dispositions des articles L et L du code de la sécurité sociale ci-après reproduites : (…)
Article L131-5 : Les personnes responsables d’un enfant soumis à l’obligation scolaire définie à l’article L doivent le faire inscrire dans un établissement d’enseignement public ou privé, ou bien déclarer au maire et à l’inspecteur d’académie, (…), qu’elles lui feront donner l’instruction dans la famille. Dans ce cas, il est exigé une déclaration annuelle.
Que faire en cas de non-respect de cette obligation ?
Selon l’article L131-8 modifiée par la loi du 14/03/2016, lorsqu’un enfant manque momentanément la classe, les personnes responsables doivent, sans délai, faire connaître au chef d’établissement les motifs de cette absence.
Les seuls motifs réputés légitimes sont : une maladie de l’enfant, une maladie transmissible ou contagieuse d’un membre de la famille, une réunion solennelle de famille, un empêchement résultant de la difficulté accidentelle des communications, une absence temporaire des personnes responsables lorsque les enfants les suivent. Les autres motifs sont appréciés par l’inspecteur d’académie. Celui-ci peut consulter les assistantes sociales agréées par lui, et les charger de conduire une enquête, en ce qui concerne les enfants présumés réfractaires.
Le chef d’établissement saisit l’inspecteur d’académie afin qu’il adresse un avertissement aux personnes responsables de l’enfant et leur rappelle les sanctions pénales dans les cas suivants :
1° Lorsque, malgré son invitation du directeur, ils n’ont pas fait connaître les motifs d’absence de l’enfant ou qu’ils ont donné des motifs d’absence inexacts ;
2° Lorsque l’enfant a manqué la classe sans motif légitime ni excuses valables au moins quatre demi-journées dans le mois. Lorsque le chef d’établissement saisit l’inspecteur d’académie afin que celui-ci adresse un avertissement aux personnes responsables de l’enfant, dans les cas prévus aux deux alinéas précédents, il en informe le maire de la commune dans laquelle l’élève est domicilié. L’inspecteur d’académie saisit le président du conseil général des situations qui lui paraissent justifier la mise en place d’un contrat de responsabilité parentale prévu à l’article L du code de l’action sociale et des familles. Il communique au maire de la commune la liste des élèves de la commune pour lesquels un avertissement tel que défini au présent article a été notifié. (…)
Les conséquences du non-respect de l’obligation de scolarité
Selon les des articles L et L442-2, tout manquement à cette obligation par les parents d’un enfant ou toute personne exerçant à son égard l’autorité parentale ou une autorité de fait de façon continue, de ne pas l’inscrire dans un établissement d’enseignement, sans excuse valable et de ne pas dispenser à l’enfant un enseignement obligatoire et suivi, est puni de six mois d’emprisonnement et d’une amende de 7500 euros.
Hier est paru au BO du 27 novembre 2017 les modifications rentrant en vigueur dès le mois de juin prochain pour le brevet des collèges 2018. A 7 mois de l’échéance, ces changements ont de quoi paniquer les parents, les élèves et les profs !
Les changements
Voici les changements opérés par rapport à la version 2017 :
Un retour en arrière notable avec la séparation de l’épreuve de français et d’histoire-géographie.
La grammaire de nouveau au programme en français
Un barème, non plus sur 700 points mais sur 800, favorisant les disciplines dite classiques : Français et maths représentent à eux seuls la moitié des points de l’ensemble des épreuves finales.
Reste avec un ratio contrôle continu/épreuves finales de 50/50, il est toujours possible pour un élève de rater les épreuves et d’avoir son brevet grâce au contrôle continu.
L’épreuve orale est maintenue et pourra porter sur l’histoire des arts. Ce n’est pas vraiment une nouveauté car les élèves pouvaient présenter un parcours PEAC.
Aujourd’hui, le ministère de l’Education a publié le nombre de postes ouverts dans les différents concours. Et ce chiffre est clairement à la baisse par rapport à l’an dernier alors même que le nombre d’élèves est attendus à la rentrée 218 dans les collèges et les lycées (+ 20 000 jeunes).
À la session 2018, 15 690postes sont offerts aux concours de recrutement d’enseignants du second degré, de personnels d’éducation et de psychologues de l’Éducation nationale de l’enseignement public :
14 981 aux concours d’enseignants du second degré
427 aux concours de conseillers principaux d’éducation
282 aux concours de psychologues de l’Éducation nationale
A titre d’exemple, ma discipline, qui est comme les dinosaures l’ont été, est une espèce en voie de disparition connait une baisse significative :
155 postes sont ouverts à l’externe soit -28% (-60 postes)
40 postes à l’interne soit -33% (-20 postes);
Cela est tout de même inquiétant pour la vie quotidienne sur le terrain sachant que dans certaines régions, de nombreuses disciplines sont en flux tendus, les TZR ou autres personnels de remplacement étant à l’année en poste, et certains postes restent non pourvus. Dans les établissements, en attendant des solutions de remplacement, les cours de ces professeurs manquants touchent essentiellement les cours des classes sans examens. Par exemple, en histoire-géographie, 2018 sera l’année la plus basse en matière de recrutement depuis la réforme de ce CAPES.
Hors, on ne compte plus le nombre de collègues non remplacés dans cette discipline, même pour un simple congé de maternité. Idem en maths.
Et quelles solutions s’offrent aux chefs d’établissement et aux rectorats pour qu’ils puissent proposer des heures de cours en adéquation avec les préconisations officielles de chaque niveau : les contractuels, qui moins bien payés qu’un titulaire offre une masse salariale flexible et malléable au MEN, les petites annonces de Pôle Emploi etc… Depuis la rentrée, un site recense officiellement les annonces de postes vacants : Le site des profs.
Il arrive, au sein d’un établissement scolaire qu’un adulte soit victime d’agression ou d’insultes faites par un élève ou un membre de sa famille. Que disent les textes et comment un chef d’établissement peut-il agir ?
“Constituent un outrage puni de 7 500 euros d’amende les paroles, gestes ou menaces, les écrits ou images de toute nature non rendus publics ou l’envoi d’objets quelconques adressés à une personne chargée d’une mission de service public, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont elle est investie.
Lorsqu’il est adressé à une personne chargée d’une mission de service public et que les faits ont été commis à l’intérieur d’un établissement scolaire ou éducatif, ou, à l’occasion des entrées ou sorties des élèves, aux abords d’un tel établissement, l’outrage est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende.”
“La collectivité publique est tenue de protéger les fonctionnaires contre les menaces, violences, voies de fait, injures, diffamations ou outrages dont ils pourraient être victimes à l’occasion de leurs fonctions, et de réparer, le cas échéant, le préjudice qui en est résulté” .
Les démarches à faire par la personne visée
1. Porter plainte (et non pas déposer une main courante) auprès d’un officier de police judiciaire de la compétence du lieu de travail, pour “outrage à personne en charge d’une mission de service public dans une école”.
2. Informer le plus rapidement possible, par écrit, le chef d’établissement
3. Demander la protection statutaire.
3. Faire établir un certificat médical initial en cas d’agression physique.
4. Remplir la déclaration d’accident de service.
5. Envoyer la demande de protection statutaire, la plainte, le certificat médical initial et la déclaration d’accident de service (2 exemplaires) au recteur, par voie hiérarchique.
Et que se passe-il ensuite ?
Le recteur saisit par écrit le procureur de la République en lui demandant d’engager une procédure judiciaire contre l’auteur de l’agression ou contre X. Il propose à l’agent une liste d’avocats ayant conclu un partenariat avec le rectorat, notamment pour le montant des honoraires et les modalités de la défense. De plus, il informe par écrit la victime concernée de la procédure à suivre.
Le rôle du chef d’établissement
Le chef d’établissement doit prendre les mesures nécessaires à la mise en sécurité du fonctionnaire.
Il prend contact avec la famille s’il s’agit d’un élève et prend des mesures disciplinaires à l’encontre de l’élève coupable (excuses du coupable, convocation de la famille, mise en œuvre d’un contrat moral avec l’élève, procédure disciplinaire à son encontre…).
S’il s’agit d’un adulte (parents d’un élève, autres majeurs), il doit se donner les moyens de le convoquer pour l’informer des conséquences de son acte.
Depuis le 1e septembre 2011, une application automatique des procédures disciplinaires prévues. Dans les cas cités ci-dessous, le chef d’établissement sera tenu de saisir le conseil de discipline
lorsque l’élève est l’auteur de violence verbale à l’égard d’un membre du personnel de l’établissement ;
lorsque l’élève commet un acte grave à l’égard d’un membre du personnel ou d’un élève ;
lorsqu’un membre du personnel de l’établissement a été victime de violence physique.
Dans un prochain article, nous verrons les procédures disciplinaires.
L’heure du mouvement interacadémique a sonnée. Toute guillerette, votre petite reine de la bidouille s’est rendue sur le célébrissime Iprof afin de faire ses vœux. (Pour les non-initiés, Iprof est un portail numérique de l’Education nationale tellement moche et peu ergonomique qu’il y a de fortes chances que ce soit un groupe d’informaticiens rescapés de l’URSS qui l’a fait).
La vérification du dossier est rapide : Célibataire sans enfants, 5 ans sur le poste dans un établissement classé REP (Réseau d’Education Prioritaire) anciennement Politique de la ville (ou APV , cela a son importance pour la suite) dans un coin mal desservi par les transports. Vient ensuite le moment de rentrer ses voeux. Jusque là tout va bien aussi….je sais où je veux aller…
Puis vient le calcul du barème et c’est le drame…Plus les années passent et moins j’ai de points.
Je m’explique :
Dans l’Education Nationale, les fonctionnaires sont mutés selon si ils sont issus du 1e degré (école maternelle et primaire), ou du lycée (collège/lycée). Pour le 1e degré le recrutement est départemental, donc dès le départ vous savez que vous pourrez faire votre carrière entière dans votre région de recrutement. Sur le papier, c’est plutôt sympa. Dans la réalité, si vous souhaitez changer de région ou simplement suivre votre conjoint, et que vous êtes dans un département déficitaire, ils ne vous laisseront pas partir. On arrive alors à la situation ubuesque de gens qui démissionnent alors qu’ils aiment leur métier, ou qui se retrouvent en situation financière précaire par une mise à disposition.
Pour le second degré, dont je fais partie,le recrutement est national (soit un CAPES ou une Agrégation, dans tous les cas un BAC+5) et donc en tant que fonctionnaire d’état, nous devons nous rendre où on nous nomme.Nous sommes classés selon un certain nombre de points attribués sur critères (situation familiale, ancienneté, handicap, zone difficile etc..).
Si j’ai pu rester dans mon académie d’origine, c’est grâce à une bonification de 500 points réservée aux ex-contractuels. L’année d’après ce n’était plus que 100 points, points grâce auxquels j’ai échappé à la région parisienne. J’ai choisis un poste APV en REP car il y avait une bonification de 320 points pour le classement REP et autant en APV. En 2014, le ministère supprime les postes APV. Adieu 320 points ….et le ministère compte en année jusqu’au 31/08 inclus….Nouveauté 2017 : Seules les postes en REP+ rapportent 320 points, les REP n’ont plus droit qu’ à 160 points. C’es un peu comme si on avait promis à Emmanuel Macron un bel appartement à l’Élysée et qu’au final il aurait eu une chambre de bonne.!Il est bien à l’Élysée mais il aurait l’impression de se faire avoir….et ce serait le cas !
De rage et de désespoir, je me suis décidée à écrire une presque lettre au père Noël…(Article à suivre)
Le site des profs est un très chouette site d’entraide et de partage réalisé par un sympathique professeur de maths pour tous les profs.
Déjà à l’origine des pages régionales d’entraide sur Facebook, il a créé ce site sur lequel vous trouverez de nombreuses informations intéressantes pour les profs et tous ceux qui s’y intéressent.
Au menu
des offres d’emplois proposées par les établissements eux-même.
Voici une petite vidéo que j’ai réalisée pour la préparation des élections des délégués collège. Une version générique sans nom d’établissement sera prochainement mis en ligne.
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