Petite lecture estivale : Hunger Games : La ballade du serpent et de l’oiseau Chanteur de Suzanne Collins aux Editions Pocket Jeunesse.
C’est un peu le livre événement en littérature jeunesse de cet été 2020. Il ne s’agit pas d’une suite de la trilogie « Hunger Games » mais d’un préquel.
L’histoire
Matin de la Moisson, ouverture de la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, on retrouve Coriolanus Snow jeune. Il est issu d’une famille de militaire noble de Panem complètement désargenté et se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux.
L’avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d’astuce et d’inventivité pour faire gagner sa candidate. Il doit absolument obtenir une bourse si il souhaite conserver par la suite son rang à Panem.
Mais le sort s’acharne. On lui a attribué le moins convoités des tributs : une fille du district Douze.
Mon avis
L’histoire est racontée du point de vue de Snow et a pour objectif de nous montrer pourquoi il est devenu aussi méchant par la suite !
On retrouve Le Capitole. Mais pas le Capitole fastueux de la première trilogie. On découvre les origine des Hunger Game et le rôle de Snow dans leur développement.
L’histoire commence bien puis s’étiole. La deuxième partie est trop longue, les interactions entre les personnages poussives et au final la cruauté de Snow s’expliquerait par le blues d’une bluette d’ado ?! Il me paraît bien sensible et narcissique cet homme pour un gros futur dictateur bien méchant. Car c’est le mot : égocentrique. Tout tourne autour de Snow, son point de vue et ses états d’âme. Et on a du mal a s’attacher au personnage.
C’est plutôt bien et on attend mieux pour le tome 2 !
Bonne lecture !
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